Phabricator – Partie 3
Ce billet parle du flux de travail adéquat pour tout développeur intéressé dans l’utilisation de Phabricator. En effet, le progiciel apporte quelques fonctions qui agrémente les outils de versionning (comme Git ou SVN).
Ce billet parle du flux de travail adéquat pour tout développeur intéressé dans l’utilisation de Phabricator. En effet, le progiciel apporte quelques fonctions qui agrémente les outils de versionning (comme Git ou SVN).
Ce billet – deuxième de la série Phabricator – traite des subtilités que vous devriez maîtriser pour l’installation de Phabricator à des fins de test.
Pour bien recommencer la maintenance de ce blog, je vous propose aujourd’hui d’aborder une série, et non pas un billet unique. C’est un défi que je me lance et qui, j’espère, saura vous faire découvrir un nouvel outil destiné non seulement aux développeurs, mais aussi aux gestionnaires de projets et aux utilisateurs finaux.
Petit poste rapide en ce samedi soir, pour vous relater une petite mésaventure qui s’est produite avec mon ordinateur personnel. Je me laisse pousser la barbe et, en bon barbu, je me suis dit que (re)passer à Linux serait à nouveau opportun. J’avais en effet lâché Ubuntu depuis un moment car, bien que j’aime énormément ce système, il était devenu un peu trop mastodonte pour jeunes pousses inexpérimentées. Je n’ai pas correctement digéré le passage de Gnome à Unity et j’ai repassé à Windows (oui je sais, ne me jugez pas) pour plein de (mauvaises) raisons.
Ayant récemment découvert Linux Mint via ma veille Internet, notamment via les sites de Sebsauvage et du Hollandais Volant. Il s’agit d’une distribution assez simple, avec des environnements graphiques plutôt sexy, bref, j’ai craqué. J’ai fait chauffer mon graveur et installé Mint en dual-boot sur ma machine. Du grand art, comme ça je bénéficie toujours des quelques jeux Steam que je ne veux pas m’embêter à transporter de Window$ à Linux, même si c’est théoriquement faisable aujourd’hui.
Cette semaine, j’ai procédé à la mise à jour d’un serveur Linux tournant sous Ubuntu 14.04 LTS. Dans la liste des éléments à mettre à jour, j’y ai aperçu le package « apache2 » qui s’occupe de faire fonctionner le serveur Web. Bon, très bien, j’ai validé l’installation de la mise à jour et contrôlé que tout fonctionnait comme il devait, et cela semblait être bon. J’ai continué mon bonhomme de chemin en sifflotant joyeusement, heureux que les mises à jour soient toujours aussi stables et dignes de confiance. Quel bonheur que d’avoir un serveur à jour et de ne plus traîner des vieilles casseroles.
Oui, enfin, j’ai déchanté un peu quelques jours plus tard lorsque j’ai voulu ajouter un nouveau sous-domaine et qu’Apache m’a crié dessus…
Je sais que la période est plus à la préparation aux fêtes de Noël qu’au nettoyage de printemps, mais je me suis dit qu’un petit article sur le nettoyage d’un poste sous Ubuntu ne pourrait probablement pas faire de mal après la traditionnelle dinde aux marrons.
J’ai, à titre professionnel, utilisé un poste Ubuntu pour le développement d’application de gestion en Java (quelle chance, un langage indépendant de la plateforme !) pendant plus de deux ans. Si les mises à jour presque quotidiennes n’ont pas été trop difficiles à supporter et que l’absence de besoin de défragmenter le système m’a fait apprécier cette expérience, il n’en reste pas moins qu’il peut arriver que le système s’encrasse en accumulant des données qui ne sont plus nécessaires au bon fonctionnement de l’ordinateur. C’est le sujet du jour: comment nettoyer tout ça ?