Phabricator – Partie 3
Ce billet parle du flux de travail adéquat pour tout développeur intéressé dans l’utilisation de Phabricator. En effet, le progiciel apporte quelques fonctions qui agrémente les outils de versionning (comme Git ou SVN).
Ce billet parle du flux de travail adéquat pour tout développeur intéressé dans l’utilisation de Phabricator. En effet, le progiciel apporte quelques fonctions qui agrémente les outils de versionning (comme Git ou SVN).
Ce billet – deuxième de la série Phabricator – traite des subtilités que vous devriez maîtriser pour l’installation de Phabricator à des fins de test.
Pour bien recommencer la maintenance de ce blog, je vous propose aujourd’hui d’aborder une série, et non pas un billet unique. C’est un défi que je me lance et qui, j’espère, saura vous faire découvrir un nouvel outil destiné non seulement aux développeurs, mais aussi aux gestionnaires de projets et aux utilisateurs finaux.
Je remarque que ces derniers temps, je suis souvent exaspéré suite au comportement de collègues développeurs dans le monde entier. Je me suis donc dit que proposer une petite liste de bons conseils (que tout un chacun est libre de récupérer et de traduire) serait plutôt sympathique à faire. Voici donc mes quelques conseils non exhaustifs aux développeurs (si vous en avez, n’hésitez pas à partager !)
Dans ce billet, j’ai envie d’évoquer quelque chose qui m’interpelle depuis plusieurs mois au sein de la communauté des développeurs de logiciel et dont je commence à me lasser très sérieusement: les logiciels super user-friendly qui pullulent dans le monde de l’open-source ces derniers temps. Plus particulièrement, c’est leur pile logicielle qui me choque de plus en plus. Je ne sais pas si c’est moi qui devient un peu « vieux con » sur les bords ou si la mélancolie de l’hiver ne m’a pas encore lâché, mais je trouve que ces derniers temps, tout devient extrêmement compliqué dans le monde du développement.
Aujourd’hui, j’avais envie de rédiger un article sur un problème qui est survenu durant ma journée et qui m’a bien embêté. Avis donc aux âmes égarées, cet article sera technique et forcément peu abordable au commun des mortels qui n’aura jamais touché à une ligne de code de sa vie. Je me rattraperai une autre fois, en attendant, je vous invite à lire d’autres billets moins techniques.
C’est donc dans ma carrière de développeur que j’en suis arrivé à croiser à plusieurs reprises le même problème récurrent: la gestion des dates.
Étant amené à développer chaque jour en Java, il y a certains automatismes qui se créent naturellement, mais également des manques criants lorsqu’on souhaite optimiser son travail. Pour répondre aux besoins des développeurs, d’autres développeurs mettent la main à la pâte et développent des API – pour Application Programming Interface. Ces dernières sont souvent très appréciées car elles facilitent le travail d’intégration du développeur, quelque soit le langage qui est utilisé, et lui offrent des services utiles comme créer un nouveau tweet sur Twitter, comparer deux collections d’objets pour savoir si les mêmes objets y sont contenus, etc.
Lorsqu’on crée son propre blog avec WordPress et/ou que l’on décide de le partager avec des collègues pour rédiger des articles, il peut être intéressant de créer ce que l’on appelle une « Author box »: une petite boîte qui contiendra des informations sur l’auteur, comme sa biographie, des liens vers les réseaux sociaux qu’il fréquente, etc. Si de nombreux plugins permettent de le faire, tous n’ont pas la même qualité. Or, étant très pointilleux sur certains aspects, je m’étonne de ne…